• Sans véritable foi car je l'ai répété 100 fois... mais j'y crois, enfin je m'y dois...

    C'était le 30 avril (noté dans la mauvaise rubrique soit dit en passant)

    Ca fait 2 jours que j'esqui ve la balance... hier en cours de journée  j'ai pas résister à m'en rajouter une couche histoire d'être plus mal  c'était  58,2 !!!!!????????....

    J'ai un cerveau qui zap ce qui ne devrait pas être oublié : le grignotage ça facture cher à moyen terme!!
    Comme les résultats de ces écarts ne se pèsent pas instantannément, j'oublie, je poursuis dans la voix du "comme je veux, de ci de là...un petit bout de ceci, de celà..." BEN NON!!!! CA MARCHE PAS COMME CA MA GRANDE grosse !

    Des principes supplémentaires doivent être joints au plan D (évitons de dire "nouveaux" rpincipes... ce qu'ils sont pourtant... éviter de me faire entendre que ledit "Unique" en son genre, n'est à nouveau qu'une pale copie de tous les autres... je ne cesse de me raconter des histoires mais j'fais faire l'effort d'y croire!)

    1. pas de petit écart "petit déj", où que je me trouve, quelques soient les efforts de la veille, peu importe le "mobile" inventé par mon monkey : rien sauf Grande exception : 1 sac protéiné!
    2. pas de petits" plus" après déjeuner ou diner : après le repas : rien! quand c'est fini, c'est fini!
    3. pas de gouter sauf à heure fixe (16h30) si et seulement si = 1 sac ou yaourt soja!
    4. repas : sacs+salade ou pates +tomates ++ from allégé

    Résultats des courses : today = 58,9!! (après 4 cafés... en admettant qu'il y a 1 litre de flotte - 250ml par tasse = 57,9...trop trop trop de toute façon!)
    Autant dire que ça a buggé !
    Autant dire que c'est à re re re ...commencer... je prends le parti de n'en retenir que la fin : Commençons donc aujourd'hui!

    Trajectoire des jours à venir : suivre l'itinéraire sans détours!

    1. aucun aucun aucun écart, aucune exception à la règle
    2. rien au petit déj (ça fou le reste de la journée à l'eau... va comprendre pourquoi! on s'en fou : si c'est ainsi, c'est en fonction de ça qu'il faut agir!)
    3. dernier "repas" = 18h... pas de diner donc! Substituer la dinette par de l'exercice et/ou écriture et/ou "intendance"
    4. repas (le seul) : déjeuner composé exclusivement d'un sac prot. + éventuellement qlq légumes et/ou fromage allégé
      quitter table, cuisine, maison dès que la pause est finie (max 1h de détente)
    5. encas de fin am à 18h au plus tard composé exclusivement d'un sac ou 2 yaourts soja
    6. maximum de la journée : 450 cal
    7. tenir la cadence au moins 6 jours
    8. boire 1,5 l d'eau claire / limiter les cafés / bouger
      - matin : intendance / courses
      - dans la matinée : enfiler les patins dès que possible
      - dans l'aps midi : impro obligatoire - impératif : hors de la maison!
    9. ne jamais se dire "juste un peu", 'juste aujourd'hui", "c'est pas gd chose" = tout absolument tout est comptabilisé et est lourdement facturé les jours suivants!

    Et là... j'ai mal au crâne!


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  • Vous rêviez vous quand vous étiez enfant ? vous rêviez de quoi ?
    -          Moi … non. Enfin, je ne crois pas, je ne m’en souviens pas. J’ai en mémoire la même rythmique qu’aujourd’hui : parcourir aujourd’hui  en attendant demain, un « demain » dénué de fond, juste pour la forme, sans idée ni envie quant à son contenu, juste une échéance, celle qui précède la suivante.
    Vous rêvez aujourd’hui ? vous rêvez à quoi ?
    -          Moi… non. Enfin, je ne sais pas, je n’ai pas la « technique » il me semble. J’aspire à rien d’autre qu’à être à demain, sans idée de ce qu’il aura de semblable ou différent quant à aujourd’hui, sans objectif ni flamme, sans projet ni passion. Juste habitée par une envie… envie d’autre chose, d’être une autre, envie de l’Autre… c’est impalpable, indéfini, trop vaste pour y adhérer vraiment. Il est peut être là l’engrenage défaillant : l’illusion en guise de fil d’ariane ne peut conduire que droit dans le  brouillard et parfois le mur.
    Le remède est simple me dit-on : «  prends toi en mains, tu es seul maître du jeu »
    -          Dites moi comment changer de train en marche ? peut-on vraiment tout rebâtir en partant de rien lorsqu’on a déjà « joué » 32 ans de vie ? qu’est ce qui reste modulable à ce stade ?
    Professionnellement « balancée » sur la mauvaise case, je ne pense pas être l’exemple de la Passionnée de son « art » ; au grand jeu des contradictions, j’ai pris la voie aux antipodes de ce qui semble me faire légèrement vibrer. J’ai nié le « manuel », le « concret » pour m’engager dans l’intellectuellement plus « notable ». Pied de nez à la contradiction, j’ai poursuivis dans des secteurs « socialisants » faciles d’accès sans grande perspective d’évolution ; éternelle insatisfaite je ne me suis pas arrêtée en si bon chemin de « comment bâtir un CV mi-figue mi-raisin 100% sans jus », j’ai pris l’option de braquer sévèrement dans la voie des « longs crocs »…  ce dernier épisode, est pour l’heure sans commentaires, c’est un chantier en cours, le grand saut pour dans une 10aine de jours. Affaire à suivre !
    Amicalement  j’ai cultivé l’éloignement, le CV de sauterelle m’a été d’un grand secours : il a été le prétexte idéal, l’alibi incontestable du « déracinement » répétitif auquel je me suis appliquée.
    Amoureusement éteinte, j’ai substitué l’absente par des aventures KOtiques en me déclarant « hors jeu » avant même le départ ! Lourd fardeau, douloureux échecs je traîne comme une 2e peau. Devenue aimant à « éjecter » je m’épuise à me laisser tenter par la dépendance « affective », l’effet boule de neige aidant, je m’écrase de plus en plus haut et m’endolorie chaque fois davantage. Atteinte de troubles du comportement alimentaire depuis plus de 12ans cette nébuleuse ne fait qu’enfler les symptômes de la « mal aimée » qui réside en moi.
    Instable sur toute une ligne que je discerne de plus en plus mal, j’erre et/ou avance avec MES notions d’équilibre, très relatives, a fortiori puisqu’elles me sont propres (même si elles me semblent souillées par tant de douleur)
    Au jeu de la théorie, les plans / schémas de  vie (de la  rhétorique, de la foutaise !) à retracer je suis prem’s. tout me semble très clair, programmable mais INVIVABLE, non viable, utopique !
    Comment faire fi des paramètres  immuables ? j’ai voulu croire que Vouloir était la clé, la condition sine qua non à la métamorphose, il n’en est rien car rien n’est aussi simple, les conditions accessoires le sont davantage encore.
    Aller vers les autres ?
    -          comment imaginez vous qu’une trentenaire endurcie et schizophrénée tiraillée entre sa  maladie et l’envie d’affranchissement de ses carcans  puisse matériellement, concrètement se donner les moyens de s’y essayer ? soyons réalistes : iriez-vous errer sur une terrasse puis une autre seul(e), multiplier l’expérience jusqu’à ce qu’une âme perdue croise votre regard par définition plongé dans votre bouquin pour se donner la contenance minimum à laquelle s’applique les esseulés ? Et quand bien même… seules les lignes grisées du grimoire  en question auront la grâce de voir vos yeux !
    La liste s’interrompt dès la première donnée car, de fait, sans l’autre … rien !
    J’ai goûté longtemps aux joies de l’ermite pour savoir qu’elles ne sont qu’un leurre. Passagèrement salutaire, le repli n’est qu’un engrenage vide infertile et épuisant vous forçant à vivre dans l’autisme celui qui vous révèle très vite inapte à l’autosuffisance et vous transforme en  handicapée de la vie.
    Chacune de mes analyses soulève inéluctablement une question dont le poids n’a d’égal que le vertige qu’il m’inspire : comment fais-je ? comment ai-je fait pour parader au milieu de tout et de tous dans cet habit ? combien de temps vais-je pouvoir continuer à faire le paon et supporter » mon profondément  obscur » ?
    J’attends demain…

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  • Toute une histoire ou toutes des histoires. Elles le sont toutes puisque caduques, périmées, obsolètes. Pas vraiment loin derrière, l’amertume est toujours là, la même en revanche, à chaque fois : celle qui résonne comme « je ne t’aime pas » ou pas assez – donc Pas, c’est un fait car on ne peut Aimer un peu, beaucoup…tatati tatata… on Aime ou Pas [point]
    La peine est toujours énorme, la souffrance immense, le lâcher prise difficile. Pas parce que mon « je t’aime » à moi reste béant, je crois même qu’il n’est pas encore née ; juste parce que j’entends « toi, Toi, je ne t’aime pas ». le non amour de l’autre est la seule raison, suffisante et impérieuse, de ma détresse.
    Je n’ai aimé qu’une fois, j’avais 12 ans… c’est tellement loin et  juvénile que cela semble grotesque. C’est pourtant vrai, la seule histoire d’Amour, cette intense attention et passion de l’autre je ne l’ai partagée qu’une fois durant 4 ans ! Depuis lors je ne fais que « chercher », chercher dans le regard de l’autre ce que ce premier (et unique IL) me renvoyait d’immensité, sans bornes ni conditions. En quête, je reste obsédée par cet effet miroir ; ce que moi je ressens, je passe outre en me caressant de l’illusion qu’il viendra(it) un jour où moi aussi je lui renverrai le même regard, les yeux brouillés d’une omelette d’amour !
    Partir en conditionnant son affection à celle de l’autre est un départ bancal, je ne cherche pas à le nié, c’est un fait. Je ne sais « concourir » différemment pourtant ! j’ai beau avoir mal, mal d’entendre cette voix me transcrire « non, tu ne (re)trouveras pas « ça » » lorsque j’entends « je pars ; on va s’arrêter là…etc. » je ne sais pas m’économiser cette douleur. Je préfère de loin le doux éphémère que l’éternel amer. Le plus furtif des moments de presque ressemblant (qui ne l’ai jamais vraiment) suffit à justifier le risque d’en saigner.
    A chaque partie j’en perds davantage, comme des dons involontaires mais conscients, je me taille les veines à chaque fois en espérant les voir se cautériser avant même d’avoir pleurer. Les expériences se suivent à un rythme plus soutenu, avec un effet boom rang plus marqué plus rapide. Les fracas de mes déboires ne tardent plus à me gifler. Les claques sont presque devenues instantanées. Le rouge s’efface à peine qu’une autre vient raviver sa couleur.

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  • aucun plan pour m'orienter, aucune route signalée, aucun indice à exploiter...

    A suivre!


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  • Ca va pas des tonnes de bien.... Plan D est en décelération presque noyé : ça fait 3 jours que j'esquive la balance que je bouffe n'importe quoi... autant d'efforts pour tout voir valser en 4 jours!!??? quelle maso tout de même!!

    La reprise en main est plus qu'urgente, j'aurai pourtant du la voir comme impérative : l'échéance approche, bientôt il me faudra être maître de moi de façon constante ; je ne pourrai me permettre d'oscillation humorale, comment gérer ce drôle de couple = l'angoisse de mon antre et  jouer l'assurance de mon être?

    A moi la faute à nouveau, ce Mea Culpa me tord de rage... à tout balancer, encore une fois... le mal d'être prendrait  le pas sur la perspective d'être à nouveau si je m'écoutais. Je sais pourtant que cette fois, il n'aura pas le dernier mot, j'irai et ferai quoi qu'il en soit "en moi"... endolorie ou non, j'affronterai! Je m'interroge encore et toujours sur l'essence même de ce "palliatif"! Oui cela ne peut être autre chose : un mal en guise d'un autre, en farce d'un autre... quel est le mobile de ce tortueux camoufflage? La peur? non, elle est bien là elle aussi....


    La liste des co-loc de mon monkey s'impose /
    Check list des présents :

    1. peur
    2. angoisse
    3. doute
    4. in - quiétude impatiente

    ... ben voilà, j'ai fait le tour. Il manque qui? Qui se loge sous cette carapace en toute clandestinité? Quel est celui ou celle qui me joue la scène de la maison hantée?

    Poursuivons avec le listing des mauvaises ondes :

    1. ennui
    2. lassitude
    3. over dose de supporter les "Autres"
    4. envie de Me retrouver dans mes murs avec Moi et rien d'autre
      .... ah... une pointe "d'envie" montre son nez...à noter!

    ... ben voilà, la cour est en rang... il manque quelqu'un???????


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